Défense des intérêts

Yvon Trepanier
Yvon Trepanier

Par Yvon Trépanier, président du Comité national d’intervention

Une défense des intérêts efficace – une question d’équilibre

Une défense des intérêts efficace est une question d’équilibre qui mobilise de nombreuses personnes et comporte trois activités clés : le lobbying, l’utilisation des médias et l’action communautaire. Chaque activité touche un public différent et nécessite une planification et une réflexion attentives afin d’assurer des efforts coordonnés et un impact maximal.

Le lobbying est une activité qui cible directement les décideurs et qui a pour but d’influencer leur prise de décisions. Cette fonction est prise en charge par un organisme et appelle à la communication avec des politiciens élus, du personnel politique et des bureaucrates. Dans le cas de la Société Parkinson Canada, les cadres supérieurs et les bénévoles travaillent ensemble afin d’exercer des pressions auprès du gouvernement du Canada, des membres du Parlement et du Sénat et du personnel de la fonction publique fédérale afin d’obtenir du financement et des changements de politiques pour les Canadiens atteints de la maladie de Parkinson.

Les décideurs du gouvernement tiennent compte des médias et ces derniers offrent un soutien bien mérité au lobbying. En même temps, une grande partie de la collectivité s’informe et peut donc se mobiliser pour la cause. Les organismes génèrent une couverture médiatique, mais il en va de même pour les intervenants locaux, individuels ou collectifs. Le courrier des lecteurs est une excellente façon de diffuser le message – et cela peut être fait de manière coordonnée, stratégique afin que nous ayons de la visibilité dans la collectivité et les journaux nationaux.

L’action communautaire est essentielle afin de faire connaître les enjeux à grande échelle. Elle donne une voix aux individus et permet aux politiciens élus d’être en contact direct avec leurs commettants. L’action communautaire amplifie les messages émis par l’organisme et rend le problème réel à travers l’expérience personnelle. Bien coordonnée, une campagne communautaire facilite la communication avec tous les représentants élus en même temps, créant ainsi un pôle d’attraction pour un problème précis à un moment précis.

La Société Parkinson Canada a un comité national de défense des intérêts actif composé de bénévoles et d’employés. Ce comité veille à ce que notre approche de défense des intérêts soit équilibrée et offre la possibilité à tous de participer. Jusqu’à présent, notre réseau national de porte-parole au niveau local s’étend à plus de 100 circonscriptions. Notre but est d’avoir au moins un bénévole dans chacune des 308 circonscriptions du Canada, et nous avons besoin de votre aide. Pour savoir comment vous pouvez nous aider à réaliser ce projet, visitez le PSC Advocacy Café.

Communiqué de presse – Le 5 juin 2009

► Le gouvernement du Canada annonce la toute première étude nationale sur les maladies neurologiques

► Les organismes caritatifs dans le domaine de la santé applaudissent l’investissement du Governement du Canada dans la recherche des maladies neurologiques

► Discours de Joyce Gordon à la conférence de presse pour l’annonce du financement de 15 millions de dollars accordé à OCNC

(De gauche à droite): Dernière rangée : Patrick Brown, député de Barrie; Femma Norton, Alliance Canadienne des Organismes sur les Tumeurs Cérébrales; Tim Irwin, Société Huntington du Canada; Derryn Gill, Spina Bifida & Hydrocephalus Association of Ontario; Rosie Wartecker, Fondation canadienne du syndrome de la Tourette; Janet MacMaster, March of Dimes Canada; Diane Gillespie, Fondation Médicale de Recherche pour la Dystonie-Canada; Yves Savoie, Société canadienne de la sclérose en plaques; Kent Bassett-Spiers, Fondation ontarienne de neurotraumatologie; Debbie Bezenkowski, Société Alzheimer du Canada. Première rangée : Catherine Sherrard, Dystrophie musculaire Canada; L’honorable Leona Aglukkaq, ministre de la Santé, Canada; Bobbi Greenberg, Société canadienne de la sclérose latérale amyotrophique; Inez Jabalpurwala, Fondation NeuroScience Canada; Joyce Gordon, Société Parkinson Canada.
(De gauche à droite):Dernière rangée : Patrick Brown, député de Barrie; Femma Norton, Alliance Canadienne des Organismes sur les Tumeurs Cérébrales; Tim Irwin, Société Huntington du Canada; Derryn Gill, Spina Bifida & Hydrocephalus Association of Ontario; Rosie Wartecker, Fondation canadienne du syndrome de la Tourette; Janet MacMaster, March of Dimes Canada; Diane Gillespie, Fondation Médicale de Recherche pour la Dystonie-Canada; Yves Savoie, Société canadienne de la sclérose en plaques; Kent Bassett-Spiers, Fondation ontarienne de neurotraumatologie; Debbie Bezenkowski, Société Alzheimer du Canada.Première rangée : Catherine Sherrard, Dystrophie musculaire Canada; L’honorable Leona Aglukkaq, ministre de la Santé, Canada; Bobbi Greenberg, Société canadienne de la sclérose latérale amyotrophique; Inez Jabalpurwala, Fondation NeuroScience Canada; Joyce Gordon, Société Parkinson Canada.

 

L’honorable Leona Aglukkaq, ministre de la Santé, Canada et Joyce Gordon, Président et chef de la direction de la Société Parkinson Canada
L’honorable Leona Aglukkaq, ministre de la Santé, Canada et Joyce Gordon, Président et chef de la direction de la Société Parkinson Canada