L’histoire d’un donateur : Ken Squires s’exprime sur la communication et le bien vivre avec la maladie de Parkinson

Dirigeant d’entreprise dans le secteur de la fabrication, Ken Squires a toujours résolu lui-même ses problèmes. Tout au long de sa carrière fructueuse, le style de gestion de Ken a été de « trouver lui-même des solutions et de les apporter aux autres ».

Ce retraité actif, qui a toujours le don d’établir des relations avec les gens, a consulté un neurologue en 2013, lorsqu’il a constaté qu’il ne pouvait pas couper de la viande avec un couteau ou se laver le bras gauche avec sa main droite.

« Je lui ai dit que j’avais lu quelques articles et que je pensais qu’il s’agissait de la maladie de Parkinson », s’est-il souvenu. « Et au fil du temps, nous n’avions plus aucun doute sur le diagnostic. »

Ses enfants et petits-enfants étaient bouleversés, mais Ken a fait preuve du calme et de la sérénité qui le caractérisent tant.

« C’est la vie. Il faut se lever tous les matins et avancer. »

Ken a adopté une approche cohérente et engagée, comme en témoignent ses dons mensuels et son intention de faire un legs à Parkinson Canada dans son testament.

« Je ne suis pas pessimiste, mais réaliste, et je pense que les recherches en cours pourraient nous permettre de trouver un remède dans un avenir proche. C’est pourquoi j’augmente mes dons dans la mesure du possible, car les réseaux de recherche nationaux, comme le Réseau Parkinson canadien ouvert (RPCO), vont permettre une avancée, même si je ne suis peut-être plus là pour le voir. »

Pendant les premières années, les symptômes de Ken étaient bénins et ne perturbaient que peu son quotidien. Les médicaments ont permis de contrôler ses légers tremblements. Mais ces deux dernières années, ses symptômes ont progressé.

« Je me suis alors intéressé à ce que proposait Parkinson Canada », a-t-il expliqué. « J’essaie d’être plus proactif et de tirer parti de toutes les ressources existantes. En d’autres termes, je demande de l’aide au lieu de faire cavalier seul, ce qui va à l’encontre de ma façon de voir les choses. J’ai changé de mentalité. »

Ken a contacté Shannon, membre de l’équipe d’information et de référence de Parkinson Canada, qui lui a fourni des ressources précieuses pour bien vivre avec la maladie de Parkinson. Toujours actif, Ken est plus que jamais déterminé à faire de l’exercice physique, notamment du vélo et du tapis roulant, et apprend sans cesse quelque chose de nouveau.

« L’autre jour, Shannon m’a fourni des tableaux à remplir au cours d’une journée type, qui me seront utiles lors de ma prochaine visite chez le neurologue. »

Ken reçoit un grand soutien de son épouse Marcelle et de sa famille, ce qui contribue à son attitude positive, tout comme ses parties de golf entre amis.

« Je leur demande ce qu’ils doivent garder à l’esprit lorsque nous nous apprêtons à commencer la partie, et ils me répondent ”Ken est atteint de la maladie de Parkinson et cela va avoir une incidence sur son jeu” », dit-il en riant. « Je l’appelle mon ami ”Parki”, et je m’en sers d’excuse lorsque je manque mon coup. »

Parkinson Canada a établi un partenariat avec Brain Canada, des cliniciens et des chercheurs de tout le pays, afin de créer le Réseau Parkinson canadien ouvert (RPCO), un réseau de recherche national à grande échelle qui augmentera considérablement notre capacité à trouver des réponses et à fournir les traitements et services personnalisés qui améliorent des vies.

Selon Ken, ce type de recherche est notre meilleure stratégie pour « prendre le taureau par les cornes » dans le cadre de la lutte contre la maladie de Parkinson, et nous apprécions la solidarité et l’engagement de notre communauté pour nous aider à mener cette importante recherche.

Découvrez le RPCO et devenez un donateur mensuel avec Parkinson Canada.

Découvrez l’équipe d’information et de référence de Parkinson Canada et comment elle vous aide, vous et vos proches, à bien vivre avec la maladie de Parkinson.

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